« Le paradoxe, c'est que pour accoucher de l'avenir, il faut souvent se réengendrer, d'une certaine façon, et cela passe par une réécriture de l'histoire. Un nouveau récit. De nouvelles fondations. »
On peut déjà tiquer sur le néologisme « réengendrer ». Mais lorsque celui-ci s'accompagne de la forme réfléchie, ça devient encore plus bizarre. Certes, il existe quelques emplois, pour le verbe « engendrer », de la forme pronominale « s'engendrer », mais j'ai quelques doutes sur cette construction.
Quelqu'un aurait une idée sur ce que Vincent Peillon a réellement voulu dire et, si mes doutes sont partagés, quelle formulation aurait pu mieux convenir pour exprimer sa pensée ?
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